"Ta lente main vola de mes yeux vers le jour
"Ta lente main vola de mes yeux vers le jour
et la lumière entra comme un rosier ouvert."
D'un poème, de sa compréhension, ou d'une entente poètique, quand le poème décide de l'oeuvre à VOIR, on se laisse guider à travers nos bibliothèques, l'image, à partir de la photo, celle qui relierat le paysage entendu(e) avec nos yeux.
-Oui, l'oeil, le poème guide, on garde le livre ouvert et l'on écrit,
-Trouvé le système de la décision, ah, montrer, plaire, chercher, entendre à travers d'autres voix des correspondances, comme des corps liés, des pensées liées, à jamais, comme jamais, comment je pars sur ses chemins, c'est une expansion : mon théâtre s'appelle une maison, mes toiles mes demeures, acte de peindre, de mort.
- Vous déviez, le poème : y revenir !
"Et le sable et le ciel souverains palpitaient
on eût dit un rucher taillé dans les turquoises.
Ta main a touché des syllabes qui tintaient,
des coupes et des burettes aux huiles jaunes,
des corolles, des sources et puis surtout, l'amour,
l'amour : ta pure main épargna les cuillères